Samedi le 8 juillet dernier, le Mouvement républicain du Québec a organisé une deuxième conférence virtuelle, de 10H à 12H (heure de Montréal). Nous avons reçu — en direct de l’Albanie — Jarl Alé de Basseville, auteur du manifeste politique « Mon Devoir » — qui est une version française du livre « My Duty » — publié aux Éditions Dédicaces. Le 31 juillet 2016, Alé de Basseville créa un véritable séisme politico-people international en acceptant de publier les photos qu’il avait prises de Melania Trump nue dans le New York Post, l’un des plus puissants journaux conservateurs américains. Il fut l’époux de Kiera Chaplin, la petite-fille du célèbre acteur, réalisateur, scénariste, producteur et compositeur britannique Charlie Chaplin.
Quatre autres invités ont aussi participé à cette conférence virtuelle : Me Claude Laferrière (double médaillé du Gouverneur général du Canada), Me Hans Mercier (chef du Parti 51), Éric Le Ray (directeur fondateur de EPC @ Partners) et André Pitre (producteur et commentateur socio-politique). Le fondateur du MRQ, Guy Boulianne, anima la conversation. Les cinq invités ont discuté de la politique générale versus la politique des États-Unis, de la situation socio-politique en France et au Québec, ainsi que des problèmes et des enjeux de la liberté d’expression et de la liberté de la presse au Québec et ailleurs.
À propos de Jarl Alé de Basseville
Né à Bordeaux le 8 juillet 1970, Jarl Alé de Basseville est un financier issu d’une famille aristocratique liée à l’industrie pétrolière. Il est le descendant du comte de Loritello Robert de Basseville, lui-même petit-fils du duc de Normandie Robert Courteheuse.
Passionné d’arts, c’est à l’âge de 15 ans qu’il décide de rejoindre celui qui a révolutionné l’art contemporain. C’est alors qu’il apprend les bases du pop art, grâce à la photographie, à la peinture, à la filmographie ou à la sculpture sous les conseils avisés d’Andy Warhol, jusqu’à l’âge de 17 ans, où il s’envole pour Milan.
C’est à l’école d’art de Milan qu’il fera la rencontre de celui qui est aujourd’hui considéré comme le dernier surréaliste : Lucchi Renato Chiesa. Ses premières expositions de peinture, organisées par un grand agent New-Yorkais, feront sa renommée mondiale à l’âge de 18 ans. Ces différentes expériences lui permirent d’être reconnu entre autres par le Metropolitan Museum of Art (New York) et les experts du monde de l’art. Ses photos deviennent pour certaines mythiques dans les magazines de mode et de tendances, faisant de lui une des coqueluches mondiales.
Après avoir partagé l’univers de la couture avec sa grand-mère, une des dirigeantes d’une grande enseigne française, c’est avec Claude Montana qu’il découvre un attrait tout particulier à la haute couture. Il expérimentera notamment la peinture sur cuir. Jarl Alé peaufinera cette méthode jusqu’à l’extrême en réalisant des sculptures sur tissu. Il développera par la suite cette sensibilité entre ces deux univers en observant l’émergence du rôle de directeur artistique et de création. Il navigue alors entre tendances et contrôle des collections au sein de plusieurs grands groupes français et internationaux.
Il part à Los Angeles au début des années 2000 dans l’optique de créer son propre studio photo et d’assumer pleinement son rôle de directeur artistique. Il y fait notamment la rencontre d’une femme audacieuse, Rosanna Arquette, avec qui il co-produit le film Searching for Debra Winger. Une amitié sans frontières naît entre ces deux personnes qui se considèrent aujourd’hui comme frères et sœurs d’âme. Il fait aussi la rencontre de stars hollywoodiennes telles que Jane Fonda, Laura Dern, Salma Hayek, Tom Cruise, Val Kilmer, Brad Pitt etc… Ainsi qu’au sein du milieu musical où il fait la rencontre des Guns & Roses, Michael jackson, Korn, Marilyn Manson, Christina Aguilera, Pink, etc…
Le 31 juillet 2016, il créa un véritable séisme politico-people international en acceptant de publier les photos qu’il avait prises de Melania Trump nue dans le New York Post, l’un des plus puissants journaux conservateurs américains. Jarl Alé de Basseville est l’auteur du manifeste politique Mon Devoir, version française du livre My Duty, publié aux Éditions Dédicaces. La préface a été écrite par le fondateur du Mouvement républicain du Québec, Guy Boulianne.
Mon Devoir, par Jarl Alé de Basseville
Ce livre écrit par Jarl Alé de Basseville, prince de Normandie, est un manifeste. Il y parle de son enfance, de son éducation et de son parcours qui lui ont permis d’avoir cette vision de la politique, de la géopolitique, de l’économie et de la société. Grâce à un patrimoine historique familial qui lui a été transmis de génération en génération, sa vision, à la fois bien à lui, est également au coeur des préoccupations sociales actuelles.
Jarl Alé de Basseville a donc décidé d’écrire et d’exposer, non seulement les buts de son mouvement, mais encore sa genèse. De plus, il a ainsi l’occasion de créer sa propre formation. L’auteur est certain que cela peut servir à la destruction de la légende bâtie autour de sa personne par la presse.
Jarl Alé de Basseville s’adresse ici à ces tribus vikings, celtiques, gothiques de son mouvement qui cherchent maintenant une explication plus approfondie sur leurs traditions, leurs identités et leurs cultures. Le prince de Normandie n’ignore point que c’est par la parole beaucoup plus que par des livres que l’on gagne les hommes : tous les grands mouvements de l’Histoire sont dû bien plus aux orateurs qu’aux écrivains, même si les idéologies en sont nées. Il n’en est pas moins vrai qu’une doctrine ne peut sauvegarder son unité et son uniformité que si elle a été fixée par écrit, une fois pour toutes.
PRIX : 19.45 $CA