À propos de Jean-Jacques Nantel
Jean-Jacques Nantel est le cinquième d’une famille montréalaise de neuf enfants. Il provient d’un milieu d’enseignants et de professionnels. Il a reçu une formation d’ingénieur géologue et de manager à l’École Polytechnique de Montréal et à l’Université McGill.
Pendant des années, Jean-Jacques a oeuvré pour des PME québécoises de géophysique tant au Québec qu’à l’étranger et a ensuite été Directeur régional pour l’Asie, l’Afrique et les Caraïbes (32 pays) pour une entreprise privée d’aide au développement international.
Globe-trotter dès son jeune âge, il a entrepris en 1979 un voyage en auto-stop et en solo de deux ans autour de l’Europe et de l’Afrique noire. Au total, Jean-Jacques a vécu quinze ans à l’étranger et visité une centaine de pays sur quatre continents. Il parle couramment quatre langues, dont l’espagnol et le portugais. Il a été marié à une Brésilienne pendant huit ans, a vécu cinq ans au Brésil, où il a été immigrant, et trois ans à l’université de Shanghai en Chine.
Depuis son retour au Québec en 2010, Jean-Jacques s’est impliqué dans une foule d’organisations indépendantistes québécoises dont le Bloc québécois, OUI-Québec et Cap sur l’Indépendance.
Passionné d’histoire et de géopolitique, il a publié sur Amazon (kindle) un livre électronique sur la géopolitique mondiale intitulé « Vivre dans un univers qui s’éteint ». Il est également l’auteur de dizaines d’articles publiés sur Vigile, de nombreux clips radiophoniques et de nombreuses vidéos présentées sur Youtube, principalement sur le sujet de l’indépendance payante du Québec.
Ses passe-temps préférés sont la lecture, le cinéma, le vélo et les descentes de rivières en canots.
Vivre dans un univers qui s’éteint
Si plus de gens lisaient ce livre, on n’entendrait moins souvent dire que la loi de la jungle est de s’entre-tuer, que l’être humain est mauvais, que les frontières provoquent des conflits, que le sexe mène le monde ou que la démocratie est toujours le meilleur système de gouvernement.
Tout ce qui est arrivé, arrive ou arrivera sur Terre (ou ailleurs) peut être expliqué par une seule notion très simple; celle d’économie d’énergie. Il est stupéfiant de constater tout ce qu’on peut tirer, dans tous les domaines, d’une notion aussi simple et fondamentale.
S’il y a des guerres, des crises et de la souffrance, c’est parce que, dans notre univers, l’énergie est rare. Si les fleurs, les enfants, les étoiles et même la beauté y sont éphémères, c’est parce que l’énergie se dégrade et se disperse. Si, par contre, nous aspirons tous au plaisir, au bonheur et à la joie, c’est parce que la vie, depuis toujours, lutte contre cet univers qui cherche à tout détruire.
Pour faire face à l’immense crise qui commence et assurer son avenir, qui sera fabuleux, l’humanité devra changer ses façons de faire et de penser. Ce que nous vivons, décidons et faisons de nos jours est si déterminant qu’on parlera encore de nous dans de nombreux millénaires. Quelle époque fascinante que la nôtre!