SIGNEZ LA PÉTITION – Considérant que la nation québécoise est sur le plan culturelle, historique et identitaire unique au monde, il est tout à fait normale voire même nécessaire que notre grande patrie soit reconnue comme nation à part entière et qu’elle soit, une bonne fois pour toute, libre de toute contrainte. Que ce soit sur le plan politique, social, économique ou même militaire, il est venu le temps de prendre notre avenir en main et de réaliser le rêve de plusieurs générations nous ayant précédé (signer ici).
Le Mouvement républicain du Québec est dédié à la promotion et à la défense des intérêts politiques, économiques, culturels et ethniques des Québécois et des Québécoises. L’objectif est de rassembler en un seul endroit les citoyens, les organisations politiques de toutes les allégeances, ainsi que tous les organismes et entreprises qui souhaitent faire du Québec un pays indépendant et florissant.
Nous croyons que c’est dans l’union que nous trouverons toute notre force !
Dans le cas d’une souveraineté du Québec, quelle forme de gouvernement sera la mieux adaptée aux besoins particuliers des Québécois et des Québécoises ? Le pays deviendra-t-il une démocratie directe (ou autogestion), une démocratie participative (ou démocratie semi-directe), une démocratie représentative, une fédération, une république constitutionnelle, une république fédérale ou bien encore une monarchie constitutionnelle d’ascendance française ? Pourrait-il devenir un État libre associé aux États-Unis, comme l’est Porto Rico, c’est-à-dire un territoire non incorporé des États-Unis avec un statut de commonwealth ? En fait, c’est le peuple lui-même qui décidera de la meilleure façon de se gouverner à travers la formation des États généraux et la collecte de cahiers de doléances.
Il est généralement admis que le Québec ne pourra jamais devenir un pays prospère sans le contrôle de son système bancaire et monétaire. Comme l’écrit Stéphane Blais, BA, CPA auditeur, CGA : « Dans le cas où le Québec deviendrait souverain, serait-il vraiment souverain s’il ne possédait pas sa banque centrale, n’avait pas sa propre monnaie et ne contrôlait pas les taux directeurs via sa banque centrale? Bien sûr que non! » Par ailleurs, le Xe amendement de la Constitution des États-Unis pourrait également servir de schème constitutionnel dans le cadre d’une réforme constitutionnelle du Québec avec le reste du Canada. Comme l’écrit à son tour Me Claude Laferrière (double médaillé du Gouverneur général du Canada) : « Le modèle américain pourrait s’avérer utile et inspirant dans le cas d’un référendum victorieux sur la souveraineté du Québec mais aussi et surtout dans le cadre d’une négociation tripartite avec le reste du Canada et les États-Unis qui devraient y participer en raison de l’inclusion du territoire du Québec dans le système de défense nucléaire et conventionnel de l’Amérique du Nord. »
C’est donc à ce genre de réformes que nous pourrons travailler tous ensemble !
« Nous sommes prêts maintenant
pour la libération économique,
il n’y a plus de maintenant ou de jamais,
ce soir nous devons dire c’est maintenant
que nous deviendrons maîtres chez nous. »
— Jean Lesage, premier ministre du Québec – 1962
« J’ai entrepris ce travail dans le but de rétablir la vérité si souvent défigurée, et de repousser les attaques et les insultes dont mes compatriotes ont été et sont encore l’objet de la part d’hommes qui voudraient les opprimer. J’ai pensé que le meilleur moyen d’y parvenir était d’exposer tout simplement leur histoire. » (François-Xavier Garneau)
Le Québec est dépositaire d’un héritage fabuleux et le peuple québécois a une mission à accomplir devant l’humanité. Il est temps de mettre de côté notre solitude et de nous rassembler pour un seul et même but commun !
En foi de quoi nous signons ce référendum, sous la forme d’une pétition :
Oui, nous voulons un Québec indépendant maintenant!
Considérant le nombre de signatures que nous récolterons, cette pétition sera remise aux autorités concernées. Ce dépôt des documents sera suivi d’une importante conférence de presse à l’échelle nationale.